Oui, j'ai vu pour Kalulu, et bien sûr, j'ai râlé contre lui, mais pour Coutadeur ou même Laci, c'est récurrent. On revient en arrière, et trop souvent par des passes à l'aveugle, et ceci 2 ou 3 fois par match. Ce coup-ci, c'est passé au ras du poteau droit de Leroy. Il était battu.raph a écrit : ↑dim. 10 janv. 2021 - 12:00Si tu t'es mis dans cet état pour Coutadeur dans quel état tu as dû te mettre pour la relance ratée de Kalulu plein axe ?Après bizarrement pas de regrets personnels sur ce match car je trouve qu'on est clairement une autre équipe sur le plan physique et ça me rassure beaucoup...Sur le match je pense qu'on était au dessus clairement mais bizarrement même si on rate des occasions énormes la gestion de ce match me laisse dire au fond qu'on a le résultat qu'on voulait au départ et en effet les remplacements poste pour poste n'ont absolument rien fait avancer ni progresser l'équipe. Peut être faire un rentrer un Courtet pour faire monter le bloc aurait été plus interessant que rester derrière à attendre pour les contrer (ce qui a failli marcher quand même)
Apres Paris a fait des changements offensifs car ils sont menés mais je pense pas que Girard menant au score aurait fait les même changements. Le problème limite selon moi des entraineurs français.
Je pense que le coach peut être content de ce résultat car il arrive à construire quelque chose de solide notamment défensivement qui devrait nous permettre selon moi de se maintenir rapidement. Maintenant offensivement il serait interessant de faire autre chose mais on va dire que ça sera dans un second temps...
Après, ce que je dis, c'est que lors des changements, qu'importe le résultat, c'est du poste pour poste, et par des jeunes. On affaiblit l'équipe, plutôt que de faire rentrer quelqu'un qui pourrait faire la différence. Tu dis que Girard fait rentrer Gakpa, Abdi, Chergui, Arab et Martin (C'est sûr qu'on a moins de banc qu'eux), parce qu'il perdait, et bien oui, et c'est ce qu'il fallait faire pour gagner la bataille du milieu, et la conservation du ballon. Et il a réussi. N'ayant plus le ballon, on a reculé logiquement, comme presque chaque fois, en fin de match.